Our Dead Poets
Our Dead
Poets
Their lines
string out from nowhere, stretch to sorrow.
I think of
the others who once had the top billing,
ironclads in
our literary havoc,
now even
forgotten by malice. "He exists,"
as an old
Stalinist luminary said of a friend
sent to
Siberia. "Cold helps him to compose."
As a child
Jean Stafford stood on a chair to dress;
"It's
so much easier." It's easier not to dress,
not brush
our teeth, flick off unopened mail.
Sometimes for
days I only hear your voices,
the sun of
summer will not adorn you again
with her
garment of new leaves and flowers ...
her nostalgie
de la boue that shelters ape
and protozoa
from the rights of man.
Robert
Lowell
Nos poètes
morts
Leurs lignes
s'étirant de nulle part, s'étendent à la tristesse.
Je pense aux
autres qui ont jadis eu la première place,
des
cuirassés dans nos ravages littéraires,
maintenant
même oublié par la malice. "Il existe"
comme un
ancien luminaire stalinien dit d'un ami
envoyé en
Sibérie. "Le froid l'aide à composer."
Enfant, Jean
Stafford se tenait sur une chaise pour s'habiller;
"C'est
tellement plus facile." C'est plus facile de ne pas s'habiller,
pas se
brosser les dents, jetez le courrier non ouvert.
Parfois,
pendant des jours, je n'entends que vos voix,
le soleil de
l'été ne vous ornera plus
avec son
vêtement de nouvelles feuilles et de fleurs ...
sa nostalgie de la boue qui abrite des singes
et
protozoaires des droits de l'homme.
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